« Le moment totalitaire est l’instrument de la destruction d’une civilisation qui n’est plus viable ».
Il y a en toute chose vivante – l’Être humain, ou inerte – une construction humaine, un cycle : naissance, croissance, apogée, décrépitude et mort. Les choses s’effondrent, le souvenir qu’on en a disparaît jusqu’à l’oubli…(réf : « la dialectique dans l’ Histoire » Hegel)

 

Le totalitarisme serait un moment de « destructivité » qui amène à l’effondrement ce qui ne tenait déjà plus debout.
Dans la Nature, il y a le moment de la putréfaction, de décomposition nécessaire. Nécessaire sans être souhaitable car quand on évoque l’Humain, on évoque là des moments de grande souffrance .

Au niveau d’une civilisation, le moment totalitaire nous dit qu’on « est proche de la fin ».

Or qu’avons nous observé ? Comment comprendre que nous ayons accepté la stigmatisation, l’apartheid, le fait de laisser des gens sans ressources, sans revenus, sans moyens de subsistance, …comme cela a été le cas pendant les confinements ou après avec les mesures de contrôle d’accès…. devons nous voir là l’indication d’une décadence morale majeure ?

Du coup, tous les « totalitarismes » (nazisme, communisme et autres du XXème siècle) sont à considérer comme des « soubresauts terribles ». Une spécificité peut être de ce qui s’est passé depuis 2020 serait (dixit Vera Sharav) que nous approchons d’un totalitarisme à l’échelle mondiale, totalement inédit, avec des conséquences bien plus terribles que ce que nous avons vécu/observé dans le passé.

 

Les questions qui demeurent : est ce que nous y survivrons ? Sans nous, est ce que sur notre planète & le vivant y survivront ?

Ce qui peut être « encourageant » de constater c’est que, malgré :
– la soumission apparente des masses,
– le déni massif (les sources d’informations alternatives proposées en quantité circulent malgré une censure objective),
on retrouve toujours les mêmes proportions chez les catégories d’individus qui constituent les groupes sociaux. Il y a
– des acteurs,
– des complices actifs,
– des complices passifs
– et des résistants.
Et le schéma semble le même, y compris dans les phénomènes de harcèlement dans les entreprises

Il n’y aurait donc pas de groupe où il n’existe pas un pourcentage, même infime, de résistance.

Y a t il au départ un petit % de résistance au phénomène totalitaire, qui grandit petit à petit ?
Considérant que le phénomène totalitaire ne se soutient que par l’endoctrinement des masses, il semblerait que, dans une population soumise à la contagion délirante et à la psychose de masse, au fur et à mesure des destructions, de plus en plus de gens se réveillent.

Ces « réveillés » se détachent du narratif officiel, du discours normé car ils éprouvent par la réalité de leur expérience que le discours est idéologique.

Comme un phénomène de balancier,
et à un moment donné ,
le « trop » amène à une inversion. à une destruction,
comme dans la Nature,

et de nouvelles graines émergent.

 

Source : divers dont les écrits de A BILHERAN
#sociétal #transformation #évolution