*inspiré par des extraits issus de l’interview de Philippe GUILLEMANT – chaîne Epoch Times France. Janvier 2024

«  L’IA est un outil et il ne faut pas confondre l’outil et l’utilisateur de l’ outil.

Avec le matérialisme on est entré dans l’idée que l’intelligence est dans l’outil et non dans la personne qui utilise l’outil; même si l’outil a été intelligemment conçu, ce n’est pas l’outil qui est intelligent !

Prenons Chat GPT, il y a plein d’intelligence humaine autour :
– la masse de données issue du web, alimentée par l’ Humain,
– l’intelligence de la société qui veut faire du business avec l’outil, celle-ci va introduire un biais,
– l’intelligence du programmeur et des développeurs de l’outil,
– et la plus importante, l’intelligence de l’utilisateur,
ce n’est que de l’ Intelligence humaine !
Du coup, la bonne utilisation de Chat GPT dépendra de la maîtrise
– de ce qu’on lui donne à manger,
– des questions qu’on lui pose.

Cet outil peut impressionner car bientôt (nous sommes début 2024) il maîtrisera le langage naturel et sera donc capable de comprendre, plutôt d’analyser la demande de l’utilisateur. Mais on est loin de l’intelligence, ce n’est même pas un réseau de neurones; il fonctionne comme un système expert, par déduction, progressant par O/N sur une arborescence. Il n’y a donc, selon P Guillemant, ancien chercheur CNRS et spécialiste de l’IA, pas plus d’intelligence dans Chat GPT que celle qu’on aura mis dedans et celle qu’on mettre pour l’utiliser…

Du coup, dire que l’ IA pourrait devenir consciente est une mystification existant depuis des décennies (Université de la Singularité – Californie – USA), découlant des énormes quantités d’argent qui ont été investies pour « évangéliser les personnes et leur système de pensée afin de leur permettre de croire, donc d’acheter » …

Le fait d’être capable d’intégrer des données sur plusieurs années (ce que pourrait faire l’IA) ne suffit pas à créer une « super conscience ». C’est ce type de croyance qui amène des questions comme celles entendues dans certaines communications : « une IA pourrait elle être tenue pour responsable ? Peut on parler de conscience pour une IA ? Une IA pourrait elle rencontrer des problèmes éthiques ? » …

L’IA ne serait donc non seulement pas intelligente mais dangereuse dans la mesure où elle serait capable de modifier notre système de croyance, pouvant donc nous induire en erreur.

Du coup, en « vénérant » l’outil IA, et on pourrait être tenté en écoutant certains, d’adhérer à une nouvelle religion, qui pourrait être le « trans-humanisme » ?
Or le trans-humanisme c’est aussi la fin d’une certaine Humanité, le rejet d’une partie de nous même, le rejet par exemple de notre intelligence émotionnelle que le système de pensée dans lequel nous fonctionnons depuis les 1ère années de notre éducation, nous amène à dévaloriser des capacités que nous avons : intuition, conscience vibratoire, …

 

Conclusion :


Nous avons en nous un immense potentiel à travers notre conscience,
Notre conscience n’est pas le produit de notre cerveau.
Nous pouvons nous servir de ce potentiel pour améliorer notre vie, y compris quotidienne.
Mais nous avons été trop longtemps immergés dans un système de croyances qui nous a complètement enfermés dans une matrice de la pensée dont il est difficile de se défaire.
Être ouvert à ce type de pensées, et vouloir qu’elles puissent  avoir un impact sur notre vie personnelle, implique qu’il faille d’abord :
– s’instruire,
– accepter de se déconditionner, de la matrice de pensées, de croyances, d’émotions, de jugements,
– se faire confiance et lâcher prise,
– se déconditionner de l’ Ego et ne pas se tromper sur notre identité.

Nous ne sommes pas notre personnalité, qui n’est que le masque/l’outil que nous utilisons pour fonctionner dans le Monde.
Cela prend du temps, mais petit à petit nous réussirons peut être à arrêter de voir le monde à travers nos peurs, nos problèmes émotionnels, que nous projetons en grande partie sur l’ Autre. Rappelons nous cette Loi de la physique de la Conscience qui nous dit «  tout ce que je n’aime pas chez l’autre c’est un service qui m’est rendu pour découvrir ce qui en nous déclenche cette réaction ».
Rien de négatif perçu chez l’Autre n’est pas d’abord produit par un problème que nous avons en nous même.

Arrêtons de rejeter la responsabilité de notre mal -être chez l’Autre et de chercher à l’extérieur celle/celui ou l’outil ( l’IA) qui va nous sauver.

*inspiré par des extraits issus de l’interview de Philippe GUILLEMANT – chaîne Epoch Times France.